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 Le Panthéon des Maes

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MessageSujet: Le Panthéon des Maes   Le Panthéon des Maes EmptyDim 15 Jan - 18:37

Dieux Majeurs


Itan : Le dieu du soleil. Il est adoré par tous les peuples de Nifelmaes car, avec sa sœur Jaya, il est l'un des deux premiers dieux principaux. Il est souvent représenté sous l’apparence d’un jeune homme vêtu d’une toge, possédant un rubis au milieu du front, et est censé être sage et bienveillant. Dans les légendes, lorsqu'il se rend dans le monde des mortels, il revêt l'apparence d'un mendiant ou d'un animal doué de parole (un cerf ou un cygne bien souvent) pour conseiller le héros et déjouer les plans de ces ennemis (fréquemment le malicieux dieu du destin). On lui donne pour capacité de pouvoir purifier le mal grâce aux rayons du soleil. Les démons et diables le craignent, car il a le pouvoir de les éradiquer. Parfois, il prête cette force magique au héros de son choix, l'aidant dans sa mission. Malheureusement, la bénédiction du dieu soleil est à double tranchant. Lorsque le héros a accompli sa mission, les pouvoirs finissent par le consummer et le tuer. On prétend que c'est pour cela que la magie de la lumière est un art réservé aux anges, créatures pouvant supporter sa puissance.
Clergé : Le clergé du dieu soleil a pour principale philosophie la lutte contre les démons. Les prêtres de Itan sont les seuls prêtres avec ceux de Jaya à ne pas maîtriser la magie de leur dieu. La voix de la lumière est réservée exclusivement aux anges. Toutefois, ceux-ci sont souvent habiles dans la magie du feu, qui est un élèment parent de la lumière. Les prêtres sont souvent obnubilés par les démons, les Diables, les Norden, et ceux qui passent des pactes avec eux. Par le passé, plus d'un innocent a péri sous leur inquisition.

Jaya : La déesse de la lune. Elle est adorée par tous les peuples de Nifelmaes, même si les Yolden et les Alnden lui vouent une plus grande attention que les autres. Dans les légendes, elle prend tour à tour l’apparence d’une jeune femme séduisante aux cheveux d'argent ou d’une chouette effraie. Lorsque l’on cause son courroux, elle provoque les éclipses. L’un des récits transmis par les mortels raconte comment, lors des premiers âges du monde, elle masqua durant une année entière le soleil, manquant de causer la perte des peuples de Nifelmaes. Afin d’apaiser sa colère, les dieux chargèrent un mage Alnden, Themys, de la séduire (et par extension de la distraire). L’immortalité fut donné à cet homme et il est désormais le mari de la déesse lunaire. Les Alnden quant à eux le déifièrent en tant que dieu de l’amour… Charnel.
Clergé : Les prêtres de Jaya sont plein de mystères. Ils gardent leurs connaissances pour eux-même et restent souvent cloîtrés au sein de leurs monastères. Pourquoi ? Parce que l'on raconte qu'autrefois l'un d'entre eux a commis un grave pêché, ayant attiré le courroux de Jaya. Autrefois, la voix des ténèbres était uniquement réservée aux disciples de Jaya. Mais l'un d'entre eux passa un pacte avec un Norden et lui dévoila les secrets du temple. La déesse, furieuse de voir les fils de Nor voler son pouvoir, punit les prêtres en leur interdisant désormais de suivre la voie qui leur était auparavant consacrée. Depuis, seuls les Norden utilisent encore la magie des ténèbres, ainsi que quelques Yolden.

Lith : La déesse de la vie. Elle donna naissance aux quatre grandes races de Nifelmaes en mettant son pouvoir en commun avec celui des dieux élémentaires. Pour chacun de ces peuples, elle est donc extrêmement importante. Pourtant, son rôle reste mineur dans les légendes, peu d’histoires parlent d’elle. On prétend qu'elle préfère laisser les mortels forger leur propre expérience plutôt que de les guider en tant que Mère.
Clergé : Pour les adeptes de Lith (et en fait la plupart des croyants), elle est la mère de toutes les races (excepté les Norden) et les traite avec le même amour. Aussi les prêtres de Lith, qu'elle que soit leur origine, veille à se comporter avec les autres de la même manière, même lorsqu'ils sont d'une race ennemie de la leur. Ils sont non-violents, versés dans l'art de la guérison (comme beaucoup de prêtres mais peut-être plus que les autres), préférent donner des conseils plutôt que de réellement prêcher la bonne parole. Ils sont aussi opposés à toute forme d'inquisition, même lorsqu'elle est dirigée contre les Norden ou les Diables, car ils estiment que ces créatures ne sont pas responsables du mal qu'elles font et que les mortels sont eux-même stupides de les écouter. Leur position les amène à entrer souvent en conflit avec le clergé d'Itan.

Itys : La déesse de la mort. De son union forcée avec Nor sont nés les Norden, race maudite et détestée de tous. Les légendes racontent depuis qu’elle vit recluse quelque part dans le Dalemaes. Lorsqu'elle apparaît aux mortels, elle est vêtue de noir et un voile lui couvre le visage. Ses larmes seraient de sang. Les mortels la craignent car elle est celle qui peut provoquer la mort parmi les leurs en provoquant les épidémies. Ils lui offrent régulièrement des offrandes afin de calmer ses éventuelles colères.
Clergé : On a longtemps cru que les prêtres de Itys s'adonnaient à la nécromancie à des fins néfastes, tant et si bien qu'il y eut par le passé quelques guerres entre eux et les prêtres d'Itan. Il est certes vrai que certains serviteurs d'Itys sont versés dans l'art de la Mort mais ils s'en servent uniquement à des fins bénéfiques, par exemple en réparant les tissus humains et les os fracturés. Toutefois, en raison de l'usage que font les Norden de la nécromancie, cet art est très peu enseigné au sein des temples d'Itys et n'est réservé qu'aux prêtres ayant fait depuis longtemps la preuve de leur pureté d'âme. Ils craignent que la puissance de la nécromancie arrive à corrompre un esprit trop fragile.
Pour les croyants en Itys, la mort n'est qu'une étape obligatoire pour accéder à un état supérieur. Ils ne craignent donc pas la mort en elle-même mais l'aprés. Ils sont persuadés que les meilleures âmes pourront se réincarner en ange et servir directement les dieux. A l'inverse des âmes maléfiques, qui finiront en tant que Démon, Diable ou Norden. Aussi cherchent-ils à être purs autant que possible.

Ëdor : Le dieu des arts. Il est avant tout adoré par les Alnden. Les Helden et les Mälden ont une attitude neutre à son égard, seuls les artistes de ces deux peuples lui portent un réel intérêt et se rendent parfois au sein des temples se trouvant en terre Alnden pour prier et trouver l’inspiration. Les Yolden méprise ce dieu et ceux qui croient en lui, car ils l’estiment faible et inutile. Ils lui préfèrent de loin Ajün. Ëdor aurait sous ses ordres plusieurs déités mineures, chacune spécialisée dans une forme précise d'art, et que l'on désigne souvent sous le terme de Muse. On raconte que ces Muses s'attachent parfois aux personnes chez lesquelles ils perçoivent un fort potentiel artistique et les inspirent à travers leur rêve. Les Fae, qui auraient été créés par Ëdor ou Cenit (selon les versions), ne sont pas réellement des serviteurs du dieu de l'art mais acceptent parfois de lui rendre service, lorsque la situation l'exige.
Clergé : Les prêtres d'Ëdor ne sont pas de vrais prêtres, selon beaucoup. Ils ne soignent pas, ils n'apportent pas la bonne parole mais ils contruisent des temples magnifiques et cherchent à sauvegarder les objets d'arts de valeurs. Certains sont des bardes et ne maîtrisent nullement une quelconque forme de magie. Ils ont de la répugnance pour la violence même si certains d'entre eux ont chroniqué, par le passé, les sanglantes batailles qui ont embrasé Emeryl. Les temples sont ouverts à tous, ils forment aussi les artistes en tout genre, les bardes ou ménestrels et des artisans capables de restaurer des oeuvres d'art (comme les livres ou les tableaux). Dans une moindre mesure, ils s'interessent aussi à l'archéologie. Enfin, les prêtres d'Ëdor sont les rares à pouvoir entretenir des relations avec le peuple des Fae, qui restent malgré tout un mystère pour eux. Ces mêmes Fae accompagnent parfois les bardes prêtres dans leur voyage.

Ajün : La déesse de la guerre. Elle est avant tout adorée par les Yolden, peuple réputé pour son agressivité et l’importance qu’ils accordent aux combats. Les autres peuples la craignent car elle est celle dont la parole, transmise par les oracles, peut amener les Yolden à piller les autres royaumes. Ajün est une déesse colérique, vengeresse et impitoyable, bien qu’elle possède un sens de l’honneur très important. Plus que Yol, c’est Ajün qui a créé les rites et coutumes des Yolden. Dans les légendes, on la montre souvent opposée à Ëdor, son propre frère. Plus rarement, ils sont amants en constante querelle.
Selon les croyants d'Ajün (avant tout des Mälden et des Yolden), il n'y a qu'un seul moyen pour accéder au Paradis : mener une vie de combat, protéger sa famille ou son clan, préserver son honneur quitte à devoir se sacrifier pour cela. Les lâches n'ont pas leur place aux côtés de la déesse de la guerre.
Clergé : Les prêtres d'Ajün sont avant tout des guerriers. Non pas qu'ils dédaignent la magie mais ils souhaitent honorer leur déesse en faisant preuve de courage et d'honneur au combat. De plus, ils pensent que ce n'est qu'ainsi - en défendant leur patrie - qu'ils pourront devenir des anges et servir Ajün après leur mort. Ainsi, on a déjà vu des prêtres d'Ajün s'enroler dans les armées, là où les autres clergés iront plutôt soigner les blessés. Il ne faut toutefois pas croire que le temple de la déesse de la guerre est composé de barbares, car tous doivent obéir à des règles strictes. Celles-ci sont assez proches des règles d'honneur de la culture Yolden. On trouve donc des chevaliers mais aussi des assassins qui obéissent tous au même code. Ne jamais trahir, protéger les siens même si pour cela il faut éliminer un autre, ne pas hésiter à se sacrifier et concevoir l'art de la guerre comme une religion et non pas un potentiel profit par les pillages.
Par le passé, lors des grandes guerres, le clergé d'Ajun a parfois connu des déviances, en oubliant notamment la clause de ne pas faire de profit. Ils sont depuis l'ordre religieux le plus riche et les statues en hors massif de la déesse orne le moindre temple.

Hel : Le dieu de l’eau (et de la glace) et divinité principale chez les Helden. Il est aussi adoré chez les Malden. Il est le jumeau de Mäl. Afin d'apprendre les magies liées à l'eau, il est de coutume pour les mages et les prêtres de prêter serment à Hel, afin d'obtenir sa bienveillance et son aide. Cette tradition se retrouve pour les autres voies de magie, où un serment est prêté au dieu qui lui est associé.
Clergé : La nature du clergé d'Hel est double. A la fois guerrier et guérisseur. A Arcotos, là où l'on trouve les plus grands prêtres d'Hel, les jeunes Helden sont formés par les prêtres à devenir chevalier. Ils leur enseignent un code de l'honneur très strict et tout chevalier désobéissant à celui-ci obtient aussitôt l'excommunication (qui s'étend en fait à tous les autres clergés). Les prêtres sont parfois eux-même des chevaliers. De l'autre côté, il y a les guérisseuses d'Arcotos. Elles sont parfois au service de la déesse de la vie mais garde toujours une partie de leur coeur réservé à Hel, qui leur confère leur pouvoir. La magie de l'eau peut avoir des vertues curatives mais le peuple Helden garde jalousement le secret de cette voie.

Mäl : La déesse de la terre et divinité principale chez les Mälden. Elle est aussi adorée chez les Helden. Elle est la jumelle de Hel. La plupart des peuples la craignent, hormis les Yolden vivant au sein des déserts d'Emeryl, car elle peut provoquer les famines et, avec l'aide de son frère, les hivers meurtriers.

Yol : Le dieu du feu et divinité principale chez les Yolden. Il est aussi adoré chez les Alnden. Il est le jumeau de Aln. On le dit colérique face au provocation mais nullement cruel. La colère amène toutefois chez lui un fort penchant destructeur. Malgré son côté impulsif, il sait toutefois agir avec discernement. Suite à la trahison de Ezri, ange du feu, il a été longtemps mis à l’écart par les autres dieux principaux car tenu responsable de la défection de son ‘serviteur’. Yol aurait en effet fait preuve de laxisme lorsque l'ange commença à s'opposer à ses maîtres.
Clergé : Les prêtres de Yol ont cherché depuis tout temps à repousser les limites de leur maîtrise du feu. On leur accorde nombre de prodige, comme par exemple parvenir à marcher sur la lave ou user des flammes de façon défensives. Toutefois, ils préfèrent ne pas user du pouvoir destructeur du feu, contrairement aux mages, car ils le jugent trop imprévisible. En raison de leur rapport avec les prêtres d'Itan, ils ont développé un art de l'exorcisme basé sur le pouvoir purificateur du feu. Par son biais, ils peuvent vaincre les malédictions, repousser les démons, renvoyer les morts six pied sous terre.

Aln : La déesse de l’air et divinité principale chez les Alnden. Elle est aussi adorée chez les Yolden. Elle est la jumelle de Yol. Parmi les dieux, c'est celle qui détient les plus grands secrets au sujet de la magie mais elle ne les enseigne qu'à ses disciples et aux Alnden. C'est une déesse secrète mais dont il faut se méfier des colères. Les marins la prient avec Hel lorsqu'ils doivent prendre la mer, afin d'éviter tempêtes et vagues meurtrières.
Culte : Les temples de Aln sont tout en hauteur et se dressent aussi que la technologie le permet. Les Alnden n'hésitent pas à les batir sur les plus grandes montagnes, y compris là où la neige éternelle règne. Les prêtres de Aln prennent grand soin à conserver dans des bibliothèques les connaissances du monde, surtout si elle est magique. Les magiciens viennent souvent obtenir la bénédiction de la déesse, même lorsqu'ils ne suivent pas la voie de l'air. Les prêtres ne cherchent que très rarement à s'en prendre aux Norden et autres démons tant qu'ils ne causent pas de vrais méfaits. Ils sont aussi relativement pacifiques. Toutefois, mieux vaut ne pas provoquer leur colère, car ils sont tels leur déesse.

Nor : Le dieu du destin et du temps. Il est décrit comme solitaire, ne se joignant que très rarement aux autres dieux dont il est parfois l'ennemi. Bien que créateur des Norden, il n'est quasiment pas adoré par eux (les Norden ne croient pas aux pouvoirs des dieux). Les autres peuples le craignent car il est celui qui donne leurs pouvoirs aux devins. Ses malédictions sont terribles car elles peuvent modifier le cours du destin à jamais. Une fête lui est consacrée par saison afin de lui rendre hommage et de lui offrir des sacrifices. Il est aussi le seul dieu à avoir le pouvoir « d’arrêter le temps » sur une personne précise. C’est lui qui rendit Themys immortel. Et lui seul pourra le rendre à nouveau mortel. Selon les dires, il serait même capable de voler leur éternité aux autres dieux.
Clergé : Il y eut quelques tentatives passées d'unifier les croyants de Nor sous une seule bannière. Toutes échouèrent car l'idée même de clergé est incompatible avec la philosophie de Nor. Le dieu prone la liberté de pensée, la liberté face au dogme. Il n'hésite pas à pousser les mortels à ne pas suivre la voie dictée par les autres dieux. Aussi, certains pensent que les fêtes que l'on créés à son honneur sont inutiles, puisque celui-ci n'y accorde aucune importance.

En plus de ceux-ci, il existe une pléthore de dieux dans le monde de Nifelmaes, pour à peu près tout et n’importe quoi. Certains ne sont adorés que par quelques villages, d’autres ont une influence plus importante.


Dernière édition par le Jeu 13 Juil - 10:31, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Le Panthéon des Maes   Le Panthéon des Maes EmptyMer 12 Juil - 18:42

Dieux Mineurs


Themys : Il ne s’agit pas d’un dieu à proprement parlé mais d’un Alnden, époux de Jaya, à qui l’on a accordé l’immortalité. Il était un mage réputé pour ses mœurs dissolues et sa capacité à séduire n’importe qui. Lorsque Jaya faillit causer la disparition des mortels, on fit appel à lui pour la séduire et l'apaiser. Il est aujourd'hui adoré par les Alnden en tant que dieu de l’amour charnel. Il est même devenu le patron des maisons closes et des prostitués. Récemment, son culte a été importé parmi les autres peuples, même s’il reste mineur.
Clergé : Le plaisir est la chose la plus importante dans la vie et il faut en profiter tant que l'on dispose d'un corps encore valide. Voilà en quelques mots la philosophie des prêtres et prêtresses de Themys. Autant dire qu'ils sont méprisés par la majorité des autres clergés et que les prêtres d'Itan n'hésitèrent pas à les chasser dans les royaumes où des choses telles que l'adultère et l'homosexualité étaient interdites. Aussi beaucoup de prêtres de Themys ont aujourd'hui trouvé refuge à Edessa. On prétend d'ailleurs qu'ils ne sont pas étrangers aux pratiques des Alnden (à moins que le clergé et le peuple n'aient échangé simplement leur point de vu en matière de sexualité). Les croyants de Themys commencent tout juste à revenir dans les autres pays, les persécussions s'étant arrêtées.
Le plaisir que défend le clergé n'est pas seulement celui du sexe. Ils aiment l'art pour son inutilité plaisante, ils aiment la nourriture, l'oisiveté. Pour ce dernier point, c'est sans doute pour cela qu'ils n'ont jamais été opposés à l'esclavage, même si sa conception est sensiblement identique à celle du peuple Alnden. On doit prendre soin d'un esclave, l'éduquer, veiller à son bien être, car dans ce cas il veillera d'autant plus à faire plaisir à son maître.

Cenit : Il s'agit d'une des divinités ou Muse au service d'Ëdor. Son sexe est indéterminé car, comme beaucoup de Muse, il prend tantôt la forme d'une femme, tantôt celle d'un homme. On lui prête parfois la création des Fae, lorsqu'il voulu donner vie au tableau ornant les murs du palais d'Ëdor ou en faisant un pari avec ce dernier. Cenit est un dieu mineur pour les "peuples élus" mais il semble que les Fae aient une certaine affection pour lui, sans pour autant lui rendre inculte. Cela pourrait valider la croyance selon laquelle il les a créé mais, malheureusement, ces mêmes Fae ont aussi une certaine affection pour Ëdor. Cenit inspirerait les peintres mais on dit toutefois que son sens de la créativité est chaotique. En effet, il ne semble guère interessé par les peintures à thème religieux et préfère inspirer d'autres aux côtés plus érotiques. Lorsqu'un prêtre chargé des fresques d'un temple s'égare sur la voie de la luxure, on accuse souvent Cenit de l'avoir mal inspiré.

Banith : Le dieu Banith (prononcer Baniss), le dieu maudit, serait né des larmes d'Itys lors de la naissance du premier Norden. Il incarne la souffrance, physique et morale. Pire, on dit qu'il prend un malin plaisir à l'occasionner. Les autres dieux le tiennent autant que possible à l'écart de leurs affaires, car il est voué au mal.
Clergé : Les prêtres de Banith vivent dans la clandestinité. Le culte du dieu maudit n'est pas toléré. En effet, les adeptes de Banith, en plus de s'infliger eux-même la souffrance pour se purifier aux yeux de leur maître, cherchent à purifier les autres par les armes. Ils sont devenus des maîtres en torture et sacrifient régulièrement de jeunes vierges à Banith, après les avoir suppliciées. On raconte aussi que certains démons et diables sont eux-aussi voués à Banith et amène la destruction en son nom.
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