Nom : Shizuka
Prénom : Yûko
Race : Alnden
Age : 18 ans
Classe : Voleur
Histoire :
Tout commença par un beau soir ensoleillé, dans une modeste demeure, au creux des montagnes d'Edesa. Une jeune femme a la chevelure blonde comme le soleil tenait fermement la main à son mari. Oui un mari, car s'aimant énormément, ils avaient décidé de concrétiser cette union par un mariage et un bébé. Ce même bébé qui poussa son premier cri quelques heures après les premières contractions. Un bébé attendu et choyé, une jolie petite fille que l'on prénomma affectueusement Yûko. A chaque pas dans sa vie, ses parents étaient là pour la soutenir, l'encourager et l'aider. Très vite, elle su se tenir debout et marcher, peut-être même plus vite que les autres enfants. Mais ce n'était pas parce qu'elle était spécialement intelligente non. Juste que sa mère portait toujours un magnifique bijou autour du cou, brillant et attisant la curiosité de l'enfant. Ce bijou, riche et orné délicatement de quelques pierres précieuses… Pour plus de détail, et vu que la joueuse est une quiche pour les description, vous pouvez regarder l'avatar.. Le collier que la demoiselle porte est le collier de la maman de ladite demoiselle.
Yûko adorait sa mère et passait le plus claire de son temps avec elle, apprenant à lire et écrire, admirant des peintures, dessinant, et surtout, surtout, dansant. Car une des choses que la fillette sût très vite faire fut de danser. Danser gracieusement, sensuellement. Parfois même ses parents invitaient des amis pour une sorte de petite représentation théâtrale et la petite fille s'en donnait à cœur joie durant ces séances, étant la source d'admiration et d'intérêt. Son père quant à lui, lui enseigna l'art et la manière de se défendre. Sachant que sa fille ne pourrait jamais faire le poids physiquement face à des garçons, il lui apprit à lancer. D'abord des objets mous, pour la visée. Puis au fur et à mesure, il intensifia les entraînements jusqu'à ce qu'elle sache parfaitement viser.
Par la danse, Yûko devint très souple et par le combat, elle devint ben… combattante.
Malheureusement pour les parents de la jeune fille, celle-ci développa très tôt un goût très fort pour tout ce qui était brillant et précieux, si bien qu'elle n'hésita pas plusieurs fois à les "voler". Je m'explique. Elle s'amusait à prendre sous leurs yeux des objets qu'ils appréciaient et les cachait jusqu'à ce qu'ils s'en aperçoivent. Et lorsqu'ils le remarquaient, elle le leur rendait son larcin.
Un jour sa mère lui confia le médaillon qu'elle portait autour de son cou, ce qui fut pour Yûko une source de joie pure et une marque d'extrême confiance. Ses parents devaient partir faire un voyage dans une autre contrée pour accroître leur connaissances. Mais jugeant leur fille trop jeune – elle n'avait que 11 ans – ils la laissèrent chez eux. La jeune fille fut donc hébergée par une de ses tantes, mais s'entendait très mal avec elle. En effet, ayant perdu momentanément ses repères, elle s'enfuyait parfois pour retrouver sa maison, ou alors disparaissait pour aller vadrouiller dans la capitale. De plus, cette femme avait deux enfants, un garçon et une fille, tous deux plus âgés que Yûko, mais seulement d'un ou deux ans. Les deux garnements s'amusaient à la taquiner, l'embêter et même parfois lui faire porter le chapeau pour des bêtises commises par eux. Et son habitude à s'enfuir sans arrêt n'aidant pas, sa tante croyait ses propres enfants. Ces heurts finirent par lui forger un caractère bien trempé, car elle finit par en avoir plus que marre de tout ça et ne tarda pas à répondre pour se défendre.
Heureusement son calvaire prit fin au bout d'une année, lors du retour de ses parents. Ceux-ci remarquèrent immédiatement les changements dans la personnalité de leur fille adorée et sourirent en voyant qu'elle avait un peu mûrit. Mais, Yûko n'avait pas grandit que en bien. Sa soif d'indépendance et sa fascination pour les bijoux et les objets précieux s'était accrue à un tel point qu'il n'était pas rare qu'elle se dispute avec ses parents sur ces sujets.
Ces derniers se concertèrent d'ailleurs la veille de ses seize ans pour prendre une dure décision. Elle devait apprendre ce qu'était la vie, et satisfaire ainsi sa soif de découvertes, car oui, la jeune fille s'était montré très intéressée par les récits de leur grand voyage. Le lendemain, Yûko eut la bénédiction de ses parents pour partir à l'aventure, et reçu une petite bourse dans la main et de quoi manger pour quelques jours.
Ravie, elle ne se fit pas prier pour s'en aller, mais son attachement à sa famille étant toujours présent, elle resta un mois avec eux avant de se lancer à l'aventure. Tout ne fut pas rose. Au bout de quelques jours, elle fut volée. Plus de bourse, plus d'argent, juste ses vêtements, le bijou de sa mère que miraculeusement les voleurs n'avaient pas vus, et les deux poignards que son père lui avait donné. Elle aurait pu retourner chez elle, après tout, ce n'était qu'à une journée de marche.. Mais elle voulait leur prouver qu'elle y arriverait, qu'elle pourrait survivre seule, et c'est ainsi qu'elle se remit à danser dans les rues, gagnant de quoi se nourrir et se loger et profitant des marchés pour voler quelques petits objets trèèèès utiles pour sa survie. Comprenez qu'elle les échangeait ensuite contre d'autres choses plus.. intéressantes pour elle, comme de l'argent.
C'est d'ailleurs en dansant qu'un peintre tomba sous son charme et lui demanda de poser comme modèle pour lui, ce que la jeune fille accepta sans hésiter. Surtout qu'elle avait du coup un toit pour se loger et de la nourriture à volonté. Une année s'écoula, et la jeune femme était toujours avec ce peintre au doux nom de Seiji, devenu son confident et son amant. Le lien qui les unissait (et les unis toujours d'ailleurs) n'était pas de l'amour. C'était une attirance physique mais sans sentiments autres que de l'amitié. Mais le caractère indépendant de la demoiselle couplé à son amour du voyage et du vol fit qu'elle quitta ce petit nid douillet pour reprendre sa route, sachant qu'elle pourrait revenir chez son ami quand elle le voudrait.
Description physique :
Comme tout parfait Alnden qui se respecte, cette jeune femme au caractère bien trempé - dont vous aurez un aperçu ci dessous - , possède un corps élancé, gracieux et agréable à regarder. Mesurant environ un mètre soixante-dix, elle a des membres fins et délicats, une peau douce comme de la soie, légèrement caramélisée, mais alors très très légèrement, une poitrine menue et bien dessinée qu'elle aime mettre en valeur.
Son visage doux est doté de deux yeux d'un rouge profond, presque sombre avec quelques paillettes dorées ci et là. Son nez droit et fin, ses lèvres parfaitement dessinées.. Le tout rehaussé par un peu de maquillage discret, accentuant encore plus sa beauté. Une drôle de marque orne une partie de son front, se perdant vers la tempe pour revenir souligner son œil gauche de rose sombre.. Il s'agit d'une sorte de tatouage, représentant un dessin n'ayant aucune signification particulière. Juste que lorsqu'elle a servi de modèle pour un peintre, celui-ci le lui avait dessiné sur la peau et trouvant que cela lui allait à merveille, elle décida, sur un coup de tête, de se le faire tatouer au même endroit qu'il était peint sur son visage.
Jusqu'ici, elle a tout d'une Alnden (sauf le tatouage). Mais, ce beau visage justement est encadré par une chevelure châtain foncé décorée artistiquement par quelques plumes roses et quelques perles et lui arrivant un peu en dessous des épaules. Rien à voir avec la magnifique cascade de cheveux que possèdent habituellement les gens de sa race. Eh bien cette chère Yûko a décidé, un beau jour de se teindre les cheveux et de les couper, dissimulant ainsi son appartenance aux Alnden. Pas qu'elle les renie, bien au contraire, elle éprouve un immense respect pour eux. Seulement, c'est une voleuse et elle sait pertinemment que cela est très mal vu et ne veux donc pas qu'on puisse jeter l'opprobre sur Edesa. Bien sûre, certaines particularités physiques ne peuvent pas être changées, mais on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a !
Côté vêtement, cette charmante jeune femme qui, bien que ma description pourrait laisser le croire, n'est pas un top model sans défauts – la preuve, elle a une petite poitrine ! – aime les beaux habits. Elle est habillée d'un bustier en cuir rouge foncé, moulant parfaitement sa silhouette et avec des longues manches tombantes, lui permettant de dissimuler facilement ce qu'elle tient dans les mains, d'une jupe courte arrivant mi-cuisses, blanche et recouverte d'une sur-jupe dans les mêmes tons que son bustier. Deux courroies de cuir tiennent sur ses hanches retenant discrètement quatre petits poignards légers, parfaits pour être lancés. Des bottes, un magnifique bijou s'étendant sur sa poitrine et son cou – offert par sa mère - et vous avez Yûko !
Profil psychologique :
Yûko a du charme. Yûko a du charisme. Yûko a un magnifique sourire et une corps à faire baver plus d'un/d'une. Mais Yûko a surtout un tempérament de feu, ne se laissant pas du tout, mais alors vraiment pas du tout marcher sur les pieds, répondant au tac o tac aux mauvaises langues et aux insultes. Elle dira franchement ce qu'elle pense de vous, même si c'est pour vous dire que vous n'êtes qu'une bouse de vache ratée, ou un oeuf de poisson desséché. En bref elle ne mâche pas ses mots. Ce qui veut aussi dire que si elle est admirative, elle le dira, si elle vous aime bien, elle le dira, si vous faites des efforts, elle vous le dira aussi. Elle n'est pas méchante, bien au contraire, et si jamais elle va trop loin dans ses propos et qu'on le lui fait remarquer, elle n'hésitera pas à s'excuser si besoin est. Si par moments elle peut être d'un sérieux à toute épreuve, lorsqu'elle se retrouve dans certaines situations (devant un magnifique objet, propulsée sur le devant de la scène…) elle se montre d'une insouciance incroyable, comme si elle était redevenue une enfant.
En fait, il vaut mieux la compter parmi ses amis que ses ennemis. Car non contente d'être une voleuse, elle est aussi capable de se défendre, même si son physique aurait pu laisser présager du contraire. Bon, ce n'est pas non plus une Hercule au féminin croisée avec une Xena hein. Elle a ses limites et surtout, elle n'a jamais blessé mortellement qui que ce soit. Yûko a un trop grand respect de la vie pour ça. Que dire d'autre ?… Ah oui, elle est assez secrète sur sa vie, mais n'en fait pas non plus une affaire d'état. Juste que si on ne lui demande rien, elle ne dira rien.
Caractéristiques :
Force : 7
Dextérité : 9
Mental : 6
Sens : 8
Points du destin : 0
Expérience : 0
Compétences :
1. Crochetage
2. Discrétion
3. Vol à la tire
4. Acrobatie
5. Marchandage
6. Maîtrise des armes de jets
