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 Ayïn Mannehrem

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Mannehrem Ayïn
Assassin
Mannehrem Ayïn


Féminin Nombre de messages : 22
Age : 36
Localisation : Shekare... Indécis quand au sort d'une enfant...
Date d'inscription : 04/08/2006

Ayïn Mannehrem Empty
MessageSujet: Ayïn Mannehrem   Ayïn Mannehrem EmptyVen 4 Aoû - 0:12

Nom : Mannehrem
Prénom : Ayïn
Race : Yolden
Age : 19 ans
Classe : Assassin

Histoire : L’aube du 50 Nîhol, solstice d’Eté pas loin d’un oasis de Shekare, vit également la naissance dans le foyer Mannehrem de deux enfants, des jumeaux mâles, précédés d’un autre frère de six années leur aîné. Dès le début de leur existence, l’aîné se prit d’affection pour eux bien qu’il le cache en présence de ses parents derrière un masque de simple protecteur. Le clan se composait d’une autre famille en plus de celle des Mannehrem, famille qui avait la main mise sur le groupe depuis plusieurs générations, aucun Mannehrem n’ayant réussi à les déloger. La satisfaction régnait d’ailleurs, les membres de cette lignée, en plus d’être forts, étaient également sages et intelligents.

Rivales, les deux familles se servaient de cette opposition pour justifier leurs entraînements rudes et éprouvants, utiles et dangereux, appliqués aux enfants mâles de préférence, dès que ces derniers savaient se débrouiller pour marcher. Etant de constitution un peu moins forte que leur frère aîné, les jumeaux prénommés Yholïn pour le premier et Ayïn pour le second, le père de famille décréta qu’ils deviendraient tous deux des assassins, à contrario de l’aîné. Tous deux ne grandissaient pas vite et leur force physique restait bien inférieure à celle de leurs homologues du même âge. Il fallait dire que des jumeaux étaient rarement venus au monde dans ce clan, l’un des deux finissant par périr naturellement à cause de sa faiblesse.

Dès leur plus jeune âge, on voyait nettement la différence de caractère entre Yholïn qui était de genre calme et réfléchi, un peu le meneur, et celui du petit Ayïn qui avait la fâcheuse tendance à sourire et rire innocemment. Les deux ayant néanmoins l’habitude de partir en exploration ou grimper un peu partout. Bien évidemment, il en résultait que tous deux n’étaient jamais indemnes quand ils revenaient de ce genre de vadrouille. Plutôt que ce soit toujours à la mère ou au frère aîné de les soigner, les jumeaux durent apprendre à soigner leurs blessures par eux-mêmes, apprenant ainsi à ne pas redouter la vue du sang ou de la chair meurtrie. Débrouillards, les jumeaux s’entendaient à merveille et mettaient d’ailleurs au point un jeu qui s’avérait être « Qui est Ayïn, qui est Yholïn ? » sitôt que l’un des deux se voyait confier une tâche et pas son jumeau. Ce qui arrivait souvent dans ces cas-là c’était « Ayïn, tu as une tâche à faire » ce à quoi il était répliqué « Ah non, moi je suis Yholïn ». Parfois, leur aîné défiait l’un des frères de l’attaquer pour s’entraîner, ce que les jumeaux utilisaient comme prétexte pour se déguiser, prendre l’apparence de l’autre.

Lorsque tous deux eurent neuf ans, ils eurent pour la première fois un choix différent qui engendra leur toute première dispute, ce qui ne les empêchait pas. Yholïn était plus du genre à manier les armes de jet et trait, estimant qu’au vu de leur constitution, il valait mieux garder ses distances. De son côté, Ayïn avait eu un coup de foudre pour la double lame de poing traditionnelle du clan, jugeant que c’était bien plus discret et en accord avec lui. En effet, le jeune garçon savait se faufiler dans le dos de sa cible, frapper derrière les genoux mais l’exercice s’arrêtait toujours avant qu’il n’abatte sa lame sur la gorge de sa victime potentielle. En retrait, leur frère aîné suivait leur progrès, s’entraînant de son côté plus rudement que jamais, bien décidé à prendre la direction du clan. En se levant par hasard en pleine nuit, Ayïn le vit s’entraîner rudement, tout guerrier qu’il était, maniant une lame longue. Son regard croisant celui de son aîné, le petit être ressentit un frisson d’angoisse devant l’air menaçant de ce dernier, un air puissant et dangereux. Pourtant quand ce dernier les réveilla le lendemain, plus rien n’y paraissait.

Formation d’assassin, endurer les tempêtes du désert et les pluies rares et violentes… Tous ces événements rythmaient la vie de la communauté en même temps que le changement de saison.

Peu à peu, les jumeaux changeaient, prenant des voies différentes mais restant proche malgré tout, si ce n’était qu’à leurs quatorze années, ils avaient décidé de ne plus dormir ensemble. Ce fut à cette même époque que leur frère aîné défia le dirigeant de la troupe en combat singulier et traditionnel. Quoique par traditionnel, il ne semblait guère équitable, le chef ayant au bas mot la soixantaine et l’expérience avec lui défié par un jeunot ayant juste la vingtaine. A la grande surprise des spectateurs, non seulement le jeune gagna mais sans aucune pitié, mit à mort l’ancien dirigeant, proclamant qu’aucune faiblesse n’était tolérable et tolérée tant qu’il dirigeait. Comme un coup de gong, l’atmosphère auparavant fraternelle du clan sembla se tasser, les contrats auparavant poliment refusés parce que trop risqués étaient acceptés tant que le prix y était.

L’année suivante, les jumeaux eurent droit à leur premier contrat, visant d’autres jumelles, des Heldens qui auraient été probablement héritières de quelque chose qui ne concernait absolument pas les frères. Toujours est-il que ce jour-là, Yholin manqua de peu échouer dans sa tentative de meurtre, stressé à l’idée que son projectile n’atteigne pas la cible. Au final, ce fut Ayïn qui égorgea les deux cibles et à bien y réfléchir, il trouva cela tellement simple que cela lui fit quelque peu peur. Son frère avait eu beaucoup de mal à enclencher son arme et demanda à son jumeau de taire cet incident.
En rentrant, comme s’il avait pu tout suivre, leur frère aîné fit appeler le malchanceux et le garda à ses côtés plusieurs heures. Ayïn ne s’en inquiéta que lorsque son jumeau ressortit très pâle et refusant de parler à quiconque. Il s’entraîna rudement, d’un côté opposé à son frère, sous la surveillance du chef de clan. Tous les six jours, Ayïn pouvait voir leur aîné se rendre auprès de son jumeau, là où ce dernier dormait et ne pouvait pas lui décrocher un mot le lendemain.

Ce genre de chose devint le quotidien du clan qui prenait ces visites de plus en plus tardives pour des mises au pas de l’aîné des jumeaux. L’un des soirs, précisément celui de leur dix-neuvième anniversaire, Ayïn voulut faire une surprise à son jumeau et se cacha dans la pièce, avec deux colliers, l’un portant son prénom, l’autre le sien avec une cordelette rouge. Là, alors qu’il attendait, il fut horriblement surprit. Depuis tout ce temps, voilà ce que toutes les six nuits le nouveau chef faisait… Prétextant que tant que Yholïn ne pourrait pas le battre il serait faible, il… En entendant les cris étouffés de son jumeau, Ayïn perdit tout bon sens, l’espace d’un unique instant, un seul instant, juste une fraction de seconde et c’en fut fini.

Le Yolden ne comprit son geste qu’en voyant le regard peiné et douloureux de son jumeau. Ayïn regarda le corps de son frère, comprenant qu’il avait planté son arme traditionnelle dans la nuque de ce dernier sans la moindre hésitation. Il savait qu’il encourait à présent la traque et la mort, il savait qu’il n’avait pas le choix et son jeune aîné non plus. Yholin lui prit la main et garda l’un des colliers puis il le laissa prendre quelque équipement en vitesse. Alors que la nuit était totale, Ayïn fuit à toutes jambes dans le désert, en entendant son jumeau hurler au meurtre. Serrant le pendentif, le Yolden fuit. Il ne savait pas vers où mais avait dans l’idée de tout faire pour survivre, ne souhaitant pas mourir pour avoir tué cet être. Il avait également l’envie de voir ce que les autres régions avaient à offrir mais savait que dorénavant, il ne pourrait dormir que d’un œil. Ce dix-neuvième anniversaire était placé sous le signe d’une méfiance accrue.

De frère protégeant les siens, il allait devenir meurtrier fugitif.

Description physique : Ayïn n’est pas très imposant, à savoir qu’il fait un mètre soixante pour quarante-cinq kilogrammes et a une silhouette si fine qu’en le voyant de dos, on jurerait que c’est encore un adolescent.
Bien que musclés, ses membres ont une certaine finesse et grâce sans oublier que ses longues mains sont d’une très grande dextérité.
Il a un visage fin doté d’yeux reptiliens, ses pupilles à la verticale dans des iris grisâtres, une peau écailleuse dorée et une chevelure rouge brasier.
Il a quelques cicatrices très peu visibles à l’extrémité de l’épaule droite et à l’intérieur de la cuisse. Il arbore également un « tatouage » représentant une flamme bleue à l’intérieur de son poignet gauche.
Côté habits, il arbore des gants noirs et rouges qui enveloppent poignets et paumes, laissant les doigts libres pour une meilleure tenue des armes courtes. Pour le reste, des vêtements en tissu léger sombres ainsi qu’une sorte de ceinture ressemblant à un foulard enroulé dans lequel il peut dissimuler de petits objets. Ses chaussures son en matière marron et souple qui lui donnent un bon appui sur le sol ou autre surface. Il a également un collier simple avec une plaque portant le prénom de son frère jumeau.

Profil psychologique : Ce jeune Yolden est par nature vigilant et attentif, calculant chacun de ses gestes pour économiser ses forces.
Il est également volontaire et déterminé, de sorte que s’il se fixe un objectif, il fera tout pour y parvenir, quitte à y laisser des plumes (euh écailles).
Il est patient et prudent, pouvant passer des heures à observer sans bruit pour trouver le meilleur moment dans le but de passer à l’attaque. Il n’est jamais franc, ayant même du mal à regarder les gens dans les yeux, craignant d’être déstabilisé. Il ne prendra jamais spontanément la parole, réservé et trop prudent, discret et effacé sauf quand la situation exige son avis.
Il a néanmoins un trait de caractère majeur, si quelque chose ne se déroule pas du tout comme il l’avait prévu, il a tendance à pester. C’est dans ces rares cas qu’il faut peu de choses pour l’énerver.
Il ne croise jamais les bras et à l’habitude de laisser sa main droite à portée de sa lame qu’il porte généralement sur la cuisse.
Il est également opportuniste et s’il a la possibilité de s’entraîner ou obtenir quelque chose de particulier, il la prendra à coup sûr.
Il a aussi quelques réticences à se retrouver dans une foule, se sentant étouffé quand cela arrive. Voir son reflet lui rappelle son jumeau et il lui arrive dans ces cas-là de pousser un juron monumental.

Caractéristiques :
Force : 7
Dextérité : 10
Mental : 6
Sens : 7

Points du destin :

Expérience :

Compétences :
1. Maîtrise des lames courtes
2. Discrétion
3. Poison
4. Déguisement
5. Acrobatie
6. Premier soin

Equipement :

- Lame courte traditionnelle du clan (sorte de dague composée d’un manche et d’une lame à chaque extrémité)
- Une dague Alnden (dans la bottine gauche)
- Sac beige contenant :
° 1 trousse de soin
° 1 fiole de poison
° 1 gourde remplit d'eau
° 5 viandes séchées et 5 salées
° 8 fruits séchés
° 1 collier d'argent avec pendentif en jade
° 1 bague en or
° 1 bracelet en or
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